David Mesdag – Marathon

Pouvez-vous me dire comment vous avez connu mon site ?

J’ai décidé de courir mon 1^er marathon à Paris en 2016. Coureur de distances moyennes (10kms et Semi-marathon), j’avais des interrogations sur la gestion de l’alimentation pendant un marathon. J’ai donc cherché des informations et des comparatifs sur les gels et boissons énergétiques. C’est ainsi que j’ai découvert ton site.

Pourquoi avoir franchi le pas et avoir fait appel à mes prestations ?

Plus je lisais d’informations sur la diététique, sur la gestion de l’alimentation pendant le marathon, plus je me disais qu’il était nécessaire que je me fasse accompagner. J’étais capable de comprendre et de synthétiser les informations mais j’étais incapable d’imaginer un plan alimentaire complémentaire à mon programme d’entraînement. C’est pourquoi j’ai fait appel à toi.

Qu’est-ce que cela a apporté à votre gestion alimentaire d’avant prestation ?

• Un rééquilibrage des différents groupes alimentaires,
• Des quantités revues à la hausse,
• Une augmentation conséquente de mon hydratation journalière,
• Des compléments alimentaires pris à des périodes opportunes.

Concrètement, qu’est-ce que cela a modifié à votre « alimentation habituelle » et est-ce que l’alimentation vous a parue difficile à suivre dans votre vie de tous les jours ??

Fondamentalement, je n’ai pas eu l’impression de vivre une « révolution » de mon alimentation qui ne semblait pas trop déséquilibrée avant ton intervention.

Par contre, grâce à toi, j’ai appris à mieux gérer les quantités dans les phases d’entraînements intenses ainsi que les collations que je ne prenais jamais auparavant.

Evidemment, cela a demandé un peu de modification dans la gestion et la prévision des repas (bien que parfois, il a fallu faire avec ce qui restait dans le frigo !)

Comment voyez-vous l’alimentation maintenant par rapport à avant ? Est-ce que cela a changé quelque chose dans votre comportement alimentaire ?

Comme beaucoup de sportifs attentifs à leur alimentation (sans en être prisonnier !), j’avais tendance à manger de tout mais je ne modifiais pas mon comportement alimentaire en fonction des périodes de préparation. C’est une des données fondamentales sur laquelle je vais être attentif dorénavant.

J’ai bien pris conscience que mon corps a des besoins inhérents à mon activité physique plus ou moins intense et que je dois y répondre par des quantités et une diversité appropriées.

Voyez-vous une amélioration pertinente de vos performances, une meilleure faculté à récupérer, une diminution de la fréquence de vos blessures, une amélioration de votre état de forme ?…

Indéniablement ! Ma faculté à récupérer (et donc à enchaîner les séances) s’en est ressentie.

Le suivi de mes sensations (dans un carnet d’entraînement) montre clairement une évolution, notamment dans les sensations de faim qui étaient très fréquentes avant ce plan alimentaire.

L’hydratation journalière augmentée progressivement grâce à ce plan (je partais de loin !) a été également la clé dans la réussite de mes performances.

Au final, votre ou vos objectif(s) a été ou ont été atteint(s) ?

Oui, complètement ! 3h06’34 pour mon 1er Marathon (Paris 2016).

Ce que je retiens surtout, c’est la fraicheur avec laquelle j’ai courue qui m’a permis de profiter un maximum de l’ambiance ! Et cela, j’en reste persuadé, je le dois au bon équilibre : Plan d’entraînement/Plan alimentaire.

Est-ce que vous conseillerez mes plans à des proches ? Pourquoi ?

Oui, car les informations diététiques sur Internet foisonnent comme les informations sur la course à pied, mais elles ne remplacent pas l’aide du professionnel.

Comme l’entraîneur, le diététicien apporte les explications utiles au novice, l’offre sur mesure par un programme adapté, les correctifs nécessaires. Pour l’athlète, cela offre la sérénité de se laisser guider au travers du plan alimentaire.

Résultats (pendant le suivi) :

Semi-marathon Foulée Liesse-Marle 2016 : 1h26’52 (en préparation du Marathon)

Marathon de Paris 2016 : 3h06’34